samedi 19 mars 2016

Le Cinéma numérique ambulant en conclave à Dakar

Du 14 au 19 mars 2016, les responsables des Cna d’Afrique et du monde peaufinent des stratégies de mise sur pied de nouveaux projets dans ce domaine.
Depuis le 12 mars 2016, Coumba Sarr, la présidente du Cinéma numérique ambulant (Cna) du Sénégal est au four au moulin. Cette année, son pays a la charge d’abriter la rencontre de tous les présidents de ce réseau dont la mission est de porter le cinéma dans les contrées les plus reculées de la planète. Les participants viennent d’une dizaine de pays. Parmi eux, Kadidia Sidibé, présidente du Cna Afrique et présidente du Cna Mali, Christian Lambert, président du Cna France et fondateur de ce réseay, Wend-Lassida Ouédraogo, coordonnateur du Cna Afrique et président du Cna Burkina, Parfait Tabapsi, Secrétaire Général du Cna Afrique, Coumba Sarr, présidente du Cna Sénégal, Philippe Sambigou Nanika, président du Cna Togo, Stéphanie Dongmo, présidente du Cna Cameroun,Issoufou Thoguyeni, représentant du Cna Niger, Roland Oké, Administrateur du Cna Bénin, Amédée Agbale, représentant des personnels des Cna. Une délégation de la Duke University des États-Unis prend également part aux travaux.
C’est à Keur Massar, une localité située à la périphérie de la capitale sénégalaise entre Dakar et Rufisque que s’est faite l’entrée en la matière. Là-bas, les populations du quartier Boun ont eu droit à la projection de deux courts-métrages à haute portée didactique. D’abord, « Nina et Basile », dont le but est d’inviter la jeunesse à plus d’altruisme, d’entraide et au respect des règles d’hygiène. Dans la deuxième fiction portant sur l’état civil, les parents ont été invités à déclarer auprès de l’autorité compétente, la naissance de chaque nouvel enfant dans la famille, car, comme l’a fait remarquer la présidente du Cna Sénégal, la confection des actes de naissance reste encore un véritable problème dans cette partie du pays et un frein à l’épanouissement de l’enfant. Débutée par une causerie éducative avec les femmes de Boun, cette soirée s’est achevée avec la diffusion du film : « La Pirogue » dont l’objectif reste la sensibilisation des jeunes sur les risques qu’ils prennent à faire le déplacement pour l’Europe à bord de pirogues de fabrication artisanale.
Toujours dans le registre des activités, le Secrétaire général du Ministère de la Culture et de la Communication a accordé une audience au Cna, le 17 mars 2016. C’était en présence du Directeur de la cinématographie, Hugues Diaz. Au cours des échanges, monsieur le Secrétaire général a présenté les mesures prises par le gouvernement sénégalais pour booster le secteur culturel, qui fait de son pays une destination privilégiée dans la sous-région. Toutefois, il a regretté le fait que l’Etat ait peu de moyens pour soutenir la culture et invite de ce fait, les mécènes à apporter leur contribution. Au cours des échanges, le Cna a présenté ses activités et son apport dans la promotion d’œuvres culturelles. Le 18 mars, une rencontre ponctuée des échanges suivie d’une projection cinématographique et d’un cocktail a été organisée à la Maison de la culture Douta Seck, avec le soutien de la Direction de la cinématographique du Sénégal. Le Cna est attendu le 19 mars prochain à 20 h, à Diender pour la suite et la clôture de ses activités.
I.G

vendredi 18 mars 2016

Malick Mané et ses drôles d'oiseaux consignés dans un livre

Edité en Suisse par Jacqueline Buhler et Marianne Gujer, l’ouvrage a été présenté au public à l’hôtel St-Louis de Dakar.
Les poubelles de Dakar n’ont plus de secret pour Malick Mané. Cet ancien berger casamançais devenu artiste par la force de la nature, écume les dépotoirs de la capitale sénégalaise à longueur de journée à la recherche de déchets divers: fil de fer, épingles à cheveux tordues, boites de conserve, bois, restes de tissus, brosse à dents, coquillages, saladiers, bouteilles d’eau minérale, pinces à linge, sacs de ciment, noix de coco… C’est à l’aide de ces matériaux récupérés çà et là qu’il fabrique ses fameux oiseaux. A la fois drôles et étranges, ces oiseaux attirent bien de curieux, au point où ils ont fait l’objet d’une publication et pas des moindres ! Il s’agit d’un « Beau livre »
Mercredi 10 mars 2016, c’est un artiste enchanté que nous rencontré dans la cour-arrière de l’Ifs. Installé en plein air à côté d’un kapokier entouré de palmiers et de bougainvillées, Malick s’affairait autour d’une table sur laquelle jonchaient des objets divers. Difficile de comprendre au premier regard où menait ce désordre. Et pourtant… « C’est un travail de recherche que je mène. Depuis que j’ai fait de la sculpture ma passion, je prête attention à tout ce que je trouve dans la poubelle. Ce n’est pas facile d’affronter le regard des autres car, ils ne comprennent pas toujours ce que l’on a dans la tête, mais il suffit de savoir ce qu’on veut et de foncer», a-t-laissé entendre.
Cette toute première publication consacrée au travail de Malick Mané s’intitule « Drôles d’oiseaux » et compte 92 pages dont 17 contenant du texte et le reste dédié aux photos. Le livre est écrit en allemand et en français. Dans la première partie, Marianne Gujer, l’ethnologue qui a suivi le travail de l’artiste sur plusieurs mois, retrace le parcours périlleux qui a conduit le jeune Mané sur le chemin de la créativité. Ici, l’on apprend par exemple que Malick Mané est né le 18 janvier 1982, à Ziguinchor dans une famille mandingue et diola. Inscrit très tôt dans un Daara pour parfaire son éducation, le jeune talibé a préféré la rue aux enseignements du coran. Ce sera le départ d’une vie menée d’obstacles qui le conduira à la sculpture en passant par la maçonnerie et le petit commerce. La seconde partie de l'ouvrage est réservée aux photographies des oiseaux, œuvre de Jacqueline Buhler. Le livre qui est disponible dans les librairies du Sénégal et de Suisse, rend hommage à Ursina Von Albertini, « infatigable bâtisseuse de ponts entre personnes de différentes cultures ». Malick Mané qui se définit comme le "médecin des ordures", présente son travail comme le reflet de la société dans laquelle il vit. Dès que l'occasion se présente, il n'hésite pas à partager son savoir avec des jeunes des écoles de son pays. En témoigne les nombreux ateliers qu'il a déjà entreprit avec les élèves de l'école de Malicounda, fruit d'une association de soutien d'un projet scolaire au Sénégal.
Drôles d’oiseaux 92 pages, reliure cartonnée, allemand / français, édition: Jacqueline Bühler, CHF 49.– ( CHF 10.- en sus pour les frais d’envoi ) Commande avec bulletin de versement: Jacqueline Bühler, Im Lohnhof 6, 4051 Bâle.

jeudi 10 mars 2016

Little meanings of... Africa

When Rome destroyed Carthage, she made the conquered territories into a province that she called « Africa », a word derived from "Afri", the name of a group of people about whom little is known. The province covered only the north-eastern part of present-day Tunisia.
After Rome had extended her control over the Maghreb, Caesar created a new province, Africa Nova (New Africa), to the west of the original province of Africa, which was then, designated Africa Vetus (Old Africa), and the two provinces were united to form the Africa of the early Roman Empire, called Africa Proconsularis, after its system of administration. Roughly, it comprised Tunisia, a fairly small strip of eastern Algeria and Tripolitania.
Around the time of the administrative reorganizations of the late Empire and the Byzantine period, Islam inherited the use of the term Africa. At first, a vague concept, "Ifriqiya" soon came to denote the same Tunisian nucleus slightly expanded into eastern Algeria. These were the limits of the Aghlabite Emirate of the ninth century. While the connotation of the term Africa has broadened, the connotations of the two other terms of classical origin have become more limited.
Libya originally signified the entire continent, as Ionian geographers imagined it to be, bordered on the west by river Nile. The Romans called all the white African people «Libyans» and all the dark-skinned people were « Ethiopians», (People with burnt faces). The term “Ethiopian” consequently included those who today are distinguished, sometimes incorrectly, from the « true » Blacks under the generally unsatisfactory name of “Hamites”. In the late fifteenth and early sixteenth centuries, the name « Africa » began to denote the entire continent instead of being applied, as it was when its meaning was first widened, only to Mediterranean and white Africa, in contrast to « Ethiopia », the land of the Blacks. Africa is the world's second-largest and second-most-populous continent. At about 30.2 million km² including adjacent islands, it covers six percent of the Earth's total surface area and 20.4 percent of the total land area. With 1.0 billion people, it accounts for about 15% of the world's human population.
This article was written With the assistance of Henri Moniot and the D.B.A.C, Library of Congress cataloging in Publication Data, NY.

samedi 5 mars 2016

MASA 2016: Que le spectacle commence !

La 9ème édition du Marché des Arts du spectacle africain (MASA) s'est ouverte le 05 mars 2016 à Abidjan en Cote d'Ivoire sous le thème: Réinventons les Arts de la Scène. . Parmi les artistes invités figurent en bonne place le camerounais Manu Dibango, élevé le vendredi, 22 janvier 2016, à Abidjan au grade de Commandeur de l’Ordre national par la chancelière Henriette Dagri-Diabaté.
En effet, le Comité Artistique International de cet événement qui avait tenu à la salle Christian Lattier du Palais de la Culture de Treichville Abidjan sa deuxième réunion technique du 28 septembre au 2 octobre 2015 avait étudié 633 dossiers de candidatures parvenus au siège à Abidjan via internet, par dépôt physique ou par la poste. C’est ainsi qu'un total de 67 groupes représentant 426 artistes dont 66 résidant en Côte d’Ivoire avaient été retenus dans la sélection officielle. Le 8 mars par exemple, le MASA organisera un concert dénommé "LA SOIREE DE LA FEMME", le mardi 8 mars 2016 au Palais de la Culture dès 20 H. Sont attendus, les artistes Kandia Kouyaté ,Charlotte Dipanda,Zeynab, Fatoumata Diawara, Amou Tati, ayidissa,Rokiata Ouedraogo et plein d'autres, précise le Comité d'organisation. Le mercredi 09 mars 2016 au Palais de la Culture de Treichville à 20 heure est consacré à la soirée Jazz avec Rey Lema, Boussoko Kouyaté, Paco Sery
La liste nominale définitive par catégorie. THÉÂTRE (13 compagnies) *Pays, compagnies, pièces Côte d’ivoire : Compagnie Sadji, « La reine et la montagne » Mali : Compagnie Blonba, « Dieu ne dort pas » Sénégal : Association Fotti, « Xaar Yalla » Cameroun : Compagnie Annoora, « Stabat Mater Furiosa » Afrique du Sud : Baxter Theatre Center, « Fishers of Hope » Comores : Compagnie CCAC, « Je n’ai pas de nom » Rwanda : Compagnie Ishyo, « We call it love » Ouganda : Compagnie Théatrale Afroman Show, « Afroman Spice Show » Maroc : Compagnie du jour, « La civilisation, ma mère » Guyane : Compagnie Théatrale KS and Co, « A petites pierres »
Projets mixtes: France-Côte d’ivoire : Compagnie Théatrale de l’Union, « En attendant Godot » Belgique-Burkina Faso : Compagnie Falinga, « Je m’appelle Mohamed Ali » France-Togo-Congo : Centre Dramatique de la Haute Normandie, « Paris » CONTE (9 conteurs) Côte d’Ivoire : 1- Flopy Mendosa, « les trois émules » 2- Compagnie Bak’in Gado ; « Telles mères, tels fils » Togo : Compagnie Ziticomania, « Enya gan- paroles sublimes » Cameroun : 1- Compagnie He’mel , « Il était 5 fois à Tetem » 2-Compagnie Bena Zingui, « Il était 14 fois » Congo-Brazza : Compagnie Gabriel Kinsa, « Le génie de la forêt » Algérie : Compagnie Fayçal Belattar, « La légende de l’homme qui ne voulait pas mourir » Projets mixtes : Cameroun-Canada : Compagnie Mvet, « La rumeur » Congo-Belgique : Compagnie Le Tour Des Mots, « Thaambu weele » HUMOUR (10 humoristes) Burkina Faso : 1- Compagnie Moussa petit sergent, « Conseils pratiques, femmes enceintes » 2-Compagnie Rokiata Ouedraogo, « Ouagadougou pressé » Côte d’ivoire : 1- Association Rire Local, « Je me présente » 2-Compagnie Agalawal, « Dans tous les cas, il y a deux cas » 3- Compagnie Amiral EnK2Ka, « Ha les femmes » Guinée-Conakry : Compagnie La Muse, « Le journal intime de Dieu » Togo: Compagnie Alex l’humoriste, Stand up Zimbabwe: Compagnie Carl Joshua, Stand up Projets mixtes Côte d’ivoire-France : 1- Compagnie Amoutati, « La dame de fer » 2- Compagnie Shirley Souagnon, « Free » DANSE (8 compagnies) Danse contemporaine Burkina Faso : 1- Cie Faso Danse Théatre, « Nuit blanche à Ouagadougou » 2- Cie Teguerer Danse, « Spirit » Côte d’Ivoire : Cie Lesg’Art, « Balle au pied » Nigeria : Cie de danse Ijodee, « Aye Asan » Madagascar: Cie My Crew, « MRD » Afrique du Sud : « Cie Moving into dance Mophatong, « Bolero » Danse patrimoniale Rwanda : Imena Cultural Troupe, danse traditionnelle Zimbabwe : Cie de Dance Umkhhathi, « Ja Hlako » MUSIQUE (27 artistes, groupes) Bénin : Zeynnab, « Ovi » Burkina Faso : Kunde Blues Côte d’Ivoire : 1- Les Garagistes, « Excision » 2-Côrô Ouatt, « Fere Toniko » 3- Spyrow, « Djamo Djamo » 4- Ba Banga Nyeck 5- Room Services, « Chagrin d’amour » Cap Vert : Jenifer Solidade, « Largam da mon » Ghana : Kyekyeku, « I see you long time » Guinée-Conakry : African groove , « Africa live » Mali : 1- Naba TT, « Happy » 2- Amanar, « Tikounen » Sénégal : Marema, « Femmes d’affaires » Cameroun : Collectif HHD, « Nsama » Centrafrique : Laetitia Zonzonbe, « Manbe » Congo Brazza : Nteko, « Cri » Guinée Equatoriale : Nelida Karr, « Ntoki Habba » Tchad : Mawndoe, « Ky dan c » Afrique du Sud : Mado Jazz, « Yaka Yaka » Mozambique : Mingas, « Nweti » Algérie : Djimawi Africa, « Dellali » Maroc : African United Guadeloupe : G’ny, « Fanm isi » Suisse : Thaïs Diarra, « Déracinée » Projets mixtes Diaspora Canada : Senaya, « Souul créole » Diaspora France : Ballu Canta, « Madinina » Diaspora USA : Awa Sangho, « Ala Ta » Source: Music In Africa http://abidjanshow.com/

mercredi 2 mars 2016

Angèle Etoundi Essamba: 30 ans derrière l’objectif

Des tableaux de l’artiste camerounaise en exposition-vente jusqu’au 20 mars 2016, au musée Théodore Monod de Dakar.
Sur le sol, à l’entrée de la salle d’exposition, une petite flèche invite au voyage. Nous sommes au musée Théodore Monod (ex Institut fondamental d’Afrique noire, Ifan), au quartier Dakar-plateau, non loin de l’Assemblée nationale. Il est un peu plus de 15 heures, samedi 27 février 2016. Juste à l’aile gauche du hall d’accueil, un guide : Dieudonné Demba, dont la présence en ces lieux n’est pas anodine. « Le voyage est long. Il débute ici au rez-de-chaussée, se poursuit via les escaliers pour prendre fin à la salle supérieure ». Voilà qui nous plonge illico dans le vif du sujet : la femme, mère de l’humanité, véritable architecte qui s’offre au visiteur sous toutes ses coutures. Ici, des piroguières se livrent à une partie de pêche, là, une femme se meut autour d’une bicyclette transportant des bidons d’eau, plus loin, une autre s’abreuve à la source de vie. Ce pan de l’exposition se veut un documentaire. Le voyage est entraînant. Derrière un rideau, des filets de pêche en réalité, le regard soutenu d’une adolescente rappelle aux visiteurs sa détermination à affronter les réalités du quotidien…, avec force et fierté.
Engagée
Pour ses trente ans de photographie, Angèle Etoundi Essamba a mis les petits plats dans les grands. Placée sous le haut patronage de la République du Sénégal, l’exposition dont le vernissage au eu lieu le 19 février dernier, a vu la participation du ministre sénégalais de la Culture, des ambassadeurs des Pays-Bas et du Cameroun au Sénégal et bien d'autres. C’est en tout 200 tableaux en petits et grands formats qu’elle met en vitrine sous le label « Force et fierté ». Les photos présentées pour la plupart sur fond perdu ont été tirées en acrylique et mat x dibond. « Elles ont été réalisées à Amsterdam où réside l’artsite », renseigne Jessia, responsable de la communication. Première grande rétrospective sur sa production photographique, « Force et fierté » est un témoignage et « un hommage mérité à une artiste qui a contribué à la contemporanéité de la photographie africaine et à la visibilité des femmes photographes sur la scène internationale », affirme Landry-Wilfrid Miampika, commissaire de l’exposition.
Les photos ont été prises entre 1985 et 2015. Loin des « idées négatives véhiculées par ceux qui méconnaissent l’Afrique», celles-ci rendent avec poésie et plénitude divers états du corps féminin, « des fragments de vie et de tension entre l’histoire individuelle et collective des femmes d’Afrique et de la diaspora », ajoute-t-il. Dans ce qui se présente comme un dialogue du passé, du présent et du futur, Foldé Camara et Tawfeex Design ont mis en exergue leurs talents de scénographes, en disposant le travail en trois grands ensembles : D’abord la collection Noir & Blanc qui regroupe des photos réalisées de 1985 à 2010. Ici, l’artiste ballote entre mystique, symboles, dialogues, portraits et contrastes. Vient ensuite la collection « Couleur » dans laquelle des femmes se voilent et se dévoilent « Dans l’autre regard », où elle trouve leur « Eye-Dentity »… Enfin la collection « Invisible » plus récente, comporte des photos faites entre le Cameroun, le Bénin, la République démocratique du Congo, l’Ethiopie et le Sénégal.
Sunu Naatal
En marge de cette exposition, Daouda Timera, Mata Nataal, Sega Niane, Diama Diop, Guistaw Fall, Ibra Khalil, Xaadim Bamba ainsi que Swado Wade, un collectif sénégalais appelé Sunu Nataal, qui s’abreuve à la source d’Angèle Etoundi Essamba, présente ses œuvres aux côtés de l’artiste.
« Forces et Fierté », jusqu’au 20 mars 2016, Ouvert de 11h à 19 heures, Musée Théodore Monod, Dakar.

I.G

Un jour, un artiste: Georges-Antoine Rochegrosse, peintre d’histoire

Georges-Antoine Rochegrosse  né le  2 août 1859  à  Versailles  et mort le  11 juillet 1938  à  El Biar  ( Algérie ) est un  peintre ,  déco...